PICTUREPLAY
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pictureplay Novembre 1930
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pictureplay Novembre 1929
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pictureplay Novembre 1928
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LOUISE BROOKS LIFE
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The City Gone Wild - Nov 1927, Paramount James Cruze W- Jules Furtham, story by Jules & Charles Furtham Starring- Thomas Meighan, Marietta Millner, Louise Brooks, Fred Kohler, Duke Martin, Nancy Phillips, Charles Hill Mailes
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Source:
moicani/blogspot
LLL
LOOKING LIKE LOUISE
Coco Rocha is "Dark Angel"
Louise by Mademoh
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Louise by Elskling
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Katherine Pierce, Chicago 1926 by Angelboi69
The Artist : Le silence est d'or
The Artist nous plonge dans l'épopée du cinéma muet et parlant de la fin des années 20 et début des années 30. Le film débute plus exactement en 1927. Hollywood est à l'âge d'or des films muets, George Valentin (Jean Dujardin) est une star connue et reconnue, un mélange de Clark Gable et Douglas Fairbanks. C'est d'ailleurs sans rougir, que Jean Dujardin a remporté le prix d'interprétation masculine au dernier festival de Cannes pour un film qui n'était pas à la base dans la compétition. Ce qui est disons le, assez rare. George Valentino est à l'affiche de films à succès, héro de films d'aventure avec son fidèle compagnon, son chien. C'est alors que George Valentin est en train de présenter son dernier film à la presse. Au détour d'une interview, il rencontre Peppy Miller (Bérénice Bejo) par hasard. Plongé dans la foule, celle ci fait maladroitement irruption dans le no mans land protégé par la police entre la star et le public. Involontairement placé dans la lumière, Peppy Miller va au détour d'une séance de casting de figuration devenir une grande égérie du cinéma parlant. On y remarque les hommages à des actrices tel que Louise Brooks, Joan Crawford ou Greta Garbo.
The Artist est l'histoire de deux destins croisés de deux stars du cinéma. L'une des deux étoiles sombre et l'autre au contraire ne fait qu'être révélé au public et devient l'une des plus grande actrice d'Hollywood. Ce film est un hommage permanent et émouvant du cinéma. De la même manière que Charlie Chaplin en son temps, George Valentin est dubitatif quant à l'expansion du cinéma parlant. Cela remet en question les fondements de son jeu d'acteur provenant de gags visuels suivis de situations poétiques ou amoureuses.Orgueilleux et imbu de lui même, il va produire et réaliser son propre film. En pleine crise des années 29 et son film ne marchant pas face à la prodigieuse invention du cinéma parlant, George Valentin se ruine. On assiste à la déchéance d'un homme emporté par son orgueil plongeant à la fois dans le pathétique et l'excessif.
Hazanavicius rend un hommage éclatant aux films d'antan. Ne plongeant jamais dans le ridicule, il dresse les coulisses d'un cinéma en plein rebondissement. La réalisation est d'une intelligence remarquable avec de vraies idées de mise en scène. À la fois film du film, les plans où l'on est surpris à regarder un autre film à travers celui-ci sont légion et ce n'est pas pour nous déplaire. Cela nous rappel qu'avant d'avoir les merveilleuses péripéties de Michael Bay sous coke, il existait un cinéma qui même muet, savait faire passer autant voir plus d'émotion. Hazanavicus dépeint avec classe la déchéance d'un homme face à un public versatile et amnésique. Les jeux d'acteurs de Dujardin et Béjo sont énorme. On s'y croirait. Ils ont réussi à me plonger dans une histoire qui même muette était à la fois émouvante et prenante. Le jeu d'acteur du chien (oui c'est un petit fou fou hein) est de loin plus expressif qu'un Elie Semoun ou un Kad Merad piqué aux anabolisants. On doit également remarquer la présence d'un casting très bien fourni avec John Goodman, James Cromwell et Malcolm McDowell.
À la fois gaie, tendre, flamboyant, poignant, sombre et amer par la déchéance... Ce film est un must pouvant idéalement rejoindre les grands classique du cinéma parlant des années 30 ou 40. Jean Dujardin est impressionnant de diversité. Bérénice Bejo est éblouissante et le reste du casting est fidèle à lui même. Des acteurs américain avec de la bouteille et qui remplisse très bien leur taf. C'est vraiment une bonne surprise et l'on peut être optimiste pour l'Oscar du film étranger. Vous vous devez d'aller le voir !
overmasterysu/blogspot
1930 Ford Model A Hood Ornament
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1927 Franklin Sedan Hood Ornament
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1925 Citroen Cloverleaf Hood Ornament
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1929 Gardner Series 120 Eight-in-Line Roadster Hood Ornament
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1930 Ford Quail Hood OrnamentPoster by Jill Reger
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1928 Rolls Royce Hood Ornament
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Poster by Jill Reger Source: fineartamerica.com
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