HUMOUR
d'apres "les femmes" de Kiraz
TREASURES IN MY HAND
Cinémiroir
Décembre 1928
More Treasures!
VIDEOS
The flash-videos of Louise Brooks on LouiseBrooksWebSite!
All the videos
youtube by 240252
Le portrait fragmenté, de Leo Crepax
www.swanngalleries.com
Source: Swanngalleries
DECEMBER ALL OVER THE WORLD
Albert Einstein visits Havana December 1930
Meeting between Ezra Behar &; Dr. Albert Einstein ----
on the Ward Line ship docked in Havana Bay, Cuba, on its way to New York ...
From left to right: Havana's dentist Carlos ...; Elsa Einstein; Dr. Abrahmson -
President of the Cuban Zionist Community; Dr. Albert Einstein;
Abraham Camioner; and Ezra Behar ...
this photo: courtesy of greatgrandson Dr. Ezra Bejar - San Diego, CA)
1 dec. 1929
1927
Maria Callas
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Source: http://stylecaster.com/beauty/emma-stone-black-bob-vogue/#ixzz4RgZBkttv
Conceptual illustration of dancing girl with mask and heart By Larissa Kulik
www.swanngalleries.com
Source: Swanngalleries
Décembre 2018
Décembre 2017
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Décembre 2015
Décembre 2014
Décembre 2013
Décembre 2012
Décembre 2011
Décembre 2010
Décembre 2009
Décembre 2008
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LOUISE BROOKS LIFE
Love 'Em And Leave 'Em - Famous Players-Lasky (Paramount) D- Frank Tuttle W- Townsend Martin, play by John V.A.Weaver & George Abbott Starring- Evelyn Brent, Louise Brooks, Osgood Perkins, Lawrence Gray, Jack Egan
Herzog, Dorothy. "Comedy Drama Film." Daily Mirror, December 6, 1926.
Empty Saddles - Universal D- Lesley Selander W- Frances Guihan, story by Cherry Wilson Starring- Buck Jones, Harvey Clark, Louise Brooks, Charles Middleton
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Colorization by Dark Woods, Dec. 2019
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Photos: Louise Brooks at age 15 in Wichita, 1921
Source: Kansas.com/news
PARIS PLAISIR - DECEMBRE 1932
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Les Brooksie de Noel de DARK WOODS
Les "néo-Louise Brooks" de Giorgio Armani
Giorgio Armani a présenté sa collection Pre-Fall 2020-2021 à Milan le 14 novembre 2019.
En même temps qu'une ligne inédite de haute joaillerie, le créateur italien Georgio Armani a présenté jeudi 14 novembre à Milan sa première collection "pre fall". Une célébration de l'esthétique "flapper" (garçonne) des années 20 à usage des années... 2020.
"Chercher la garçonne/trouver son nom...". Voilà la lancinante petite musique, librement adaptée du célèbre hit de Taxi Girl, qui trotte dans la tête alors que défile, sur fond de techno, les premières pièces de la collection pre Fall 2020 de Giorgio Armani, le soir du jeudi 14 novembre 2019. Dans le Teatro milanais éponyme, dessiné par Tadao Ando, la signature en lettres lumineuses rouge-vif du couturier italien flotte, comme en suspension, au-dessus d'une noria de femmes manifestement prêtes à en découdre. En découdre avec quoi ? Avec la féminité et ses codes ; la masculinité et ses "us et costumes" cintrés ; les rigidités de genre, en somme, et par là celles de nos vestiaires, dans une époque qui ne demande que cela.
"Je veux donner aux femmes plus de liberté et de possibilités d'être différentes, avait prévenu le matin même celui que tout le monde appelle "Monsieur Armani", 85 ans, lors d'une conférence de presse. Ma proposition est destinée à une femme qui veut pouvoir se transformer au gré de ses humeurs et de ses sensations. Où elle veut, quand elle veut. En mixant les genres".
Aussitôt théorisé, aussitôt prouvé sur le catwalk. Intitulée "Transformism", la collection puise aussi bien ses influences dans les années vingt et trente de l'émancipation féminine, entre petites robes noires de soirée ultra courtes, chemisiers transparents et vestes de smoking détournés, que dans la multiplication de motifs floraux plus sages, d'inspiration orientale, où dominent le bleu et rouge, en passant par des blousons plus sporty-chic contemporains, portés à même la peau.
"Chercher la garçonne/trouver son nom...". L'air devient insistant, et ce "nom", on ne le cherche pas très longtemps : c'est celui de Louise Brooks, l'actrice de G.W Pabst et d'Howard Hawks. Le style libre et singulier de la figure mythique des années 20 traverse la collection - sans qu'elle ne soit jamais explicitement mentionnée. Eclipsant les quatre ou cinq mannequins hommes du défilé, qui semblent un peu perdus pour la parité, ces "néo Louise B.", rhabillées par le couturier, arborent des carrés stricts et des chapeaux-cloche en forme de citations directes de l'héroïne de "Loulou". Les pantalons en velours fluide, comme les capes et jupes-sirène dessinent clairement une esthétique "flapper" (garçonne), aussi sophistiquée, déterminée que décorsetée. Comme si, à cent ans d'écart, Armani avait voulu tracer une malicieuse filiation entre la figure archétypale des années 20 et la femme dont il rêve pour les années (20)20. Une femme insoumise qui brouille les pistes vestimentaires et joue avec les frontières identitaires. Un art du "mix & catch" que revendiquait d'ailleurs joyeusement Louise Brooks lorsqu'elle écrivait dans son journal : "Je suis une blonde aux cheveux noirs !".
Source: Giorgio Armani présente sa collection pré automne 2020 à Milan(lexpress.fr)
Pour la première fois, le Musée national Picasso-Paris a rassemblé des œuvres issues de la période dite des "tableaux magiques" (ses "tableaux de la période 1926-1930). Un cycle de création méconnu à découvrir jusqu’au 23 février 2020.
Les œuvres de ce cycle d’à peine quatre ans présentent des caractéristiques et thématiques communes identifiées pour la première fois en 1938 par l’éditeur et critique d’art Christian Zervos, dans un article de sa revue Cahiers d’art intitulé Tableaux magiques de Picasso.
L’extraordinaire imagination créative de Picasso conduit Zervos à voir en lui un magicien, capable d’inventer des formes inédites, susceptibles d’influencer la pensée de celui qui les regarde. Radicales, ces nouvelles œuvres ont immédiatement suscité des interprétations passionnées, qui subsistent aujourd’hui.
Source : Francetvinfo.fr
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